L’objectif de ce programme est d’encourager et organiser l’échange de l’expertise de tous les professionnels impliqués auprès des jeunes de 0 à 23 ans, dans le but de leur offrir des soins continus basés sur leurs besoins et ceux de leur entourage. 

Ce programme comprend l’échange de « bonnes pratiques », des réunions (formations thématiques et/ou continues, intervisions, supervisions…), des stages et des échanges de personnel (au niveau des équipes et/ou du réseau).
Il est mis en œuvre sous l’impulsion d’agents de liaison :

Mme Florence FONTAINE traite des problématiques liées à la petite enfance, aux parents en situation de fragilités et à la scolarité.

Le groupe de travail périnatalité s’est créé à partir de la réunion du programme de crise du 17 mars 2017 pour réfléchir à la prise en charge de situations qui concernent les très jeunes enfants. Il se se réunit durant 2h un vendredi par mois. 

Ouvert et participatif, il rassemble des professionnels de la petite enfance de tous secteurs confondus. Les réunions se déroulent dans différents lieux : ce sont les participants qui accueillent le groupe en fonction des disponibilités.

L’objectif de ces rencontres est de :

  • faciliter l’échange des expertises et des expériences de terrain de chacun ;
  • promouvoir l’inter-connaissance des différents acteurs du réseau, pas seulement en se présentant mais aussi en travaillant sur les représentations et les attentes que les uns ont vis-à-vis des autres ;
  • développer une culture de l’accueil et du respect (non-stigmatisation des familles et des professionnels) ;
  • développer des solidarités de réseau avec les familles et leurs enfants.

Le travail du groupe se construit en fonction des attentes de chaque participant.

Les PV des réunions sont accessibles sur demande.

Ce groupe a été inauguré en janvier 2018 par une matinée de travail avec Cathy Caulier et Frédérique Van Leuven autour de leur livre : « Grandir avec des parents en souffrance psychique » (2017, collection « passeurs de mondes, ethnographies cliniques », ed. Academia.) 
A cette occasion, plus de 300 professionnels du Brabant wallon se sont retrouvés pour échanger autour des difficultés qu’ils rencontrent dans le cadre de cette problématique.

Depuis, le groupe de travail « parentalités fragilisées » prolonge cette réflexion. Il est composé de professionnels de tous horizons et est ouvert à toute personne intéressée par le thème. 

Après avoir travaillé sur les attentes de chacun, le groupe a tenté de définir la notion de « parentalités fragilisées ». Le travail se construit aujourd’hui en fonction des attentes de chaque participant, dans le respect de chacun, familles et professionnels.

Le RDV est donné une fois tous les 2 mois, de 14h à 16 h à Clairs Vallons. Les PV des réunions sont accessibles sur demande.

Voir les informations détaillées ici au sujet du projet qui a été mené sur le TDA/H.
Ce groupe est composé de professionnels de différents horizons ayant pour préoccupation commune d’améliorer le bien-être des enfants, adolescents et jeunes adultes présentant des besoins spécifiques dans le cadre scolaire et extra-scolaire. Nous pensons que les échanges entre intervenants permettent de se soutenir mutuellement entre adultes concernés par ces situations.

En 2019, le groupe a organisé une après-midi de rencontre adressée aux intervenants scolaires et extra-scolaires ainsi qu’à tout professionnel impliqué par cette question. L’objectif était de recueillir les besoins et les difficultés mais également d’identifier des ressources existantes ou à créer. 

Suite à cette première rencontre, le groupe travaille à un projet de carte-ressources concernant les besoins spécifiques et de nouveaux échanges autour de cette question.

Contact : f.fontaine@archipelbw.be

 

M. Etienne JOIRET travaille sur les thématiques en lien avec :

  • les adolescents judiciarisés avec une problématique psychiatrique (adolescents faisant l’objet de « soins psychiques obligés ») ,
  • les jeunes souffrant d’assuétudes,
  • les jeunes mineurs étrangers non accompagnés (plan MENA);

Le groupe a pour objectif de répondre à une préoccupation énoncée dans le Guide pour la nouvelle politique de soins en santé mentale pour enfants et adolescents, à savoir la prise en compte des besoins spécifiques des adolescents « en infraction avec la loi » et qui présentent une problématique en santé mentale.

Plus largement, ce groupe de travail concerne aussi les situations de jeunes qui font l’objet de soins en santé mentale à la demande d’un mandat administratif et/ou judiciaire.

Le groupe a démarré ses travaux sous la forme d’un « groupe technique ». Il réunissait des magistrats du siège et du parquet, la coordination du réseau archipel et les pédopsychiatres des équipes mobiles. Il a entamé le travail autour de la thématique du mandat judiciaire (cadre(s), avantages, inconvénients des interventions « sous mandat ») et a ensuite invité les responsables des SPJ et SAJ ainsi que des représentants des avocats, dont le responsable de la colonne jeunesse.

Divers sujets sont abordés comme l’accès aux unités de soins intensifs (UTI), la problématique des mises en observation, des placements judiciaires en urgence, du rôle de l’avocat, des processus de judiciarisation/déjudiciarisation et l’actualité en matière juridique.

Outre l’objectif de concertation et d’échange des expertises, ce groupe de travail continue à soutenir un échange concret autour des pratiques pour éviter, autant que possible, les difficultés qui peuvent émerger lorsque le recours à la contrainte est nécessaire.

Ce groupe de travail a pour ambition de répondre à une préoccupation énoncée dans le Guide pour la nouvelle politique de soins en santé mentale pour enfants et adolescents, à savoir la prise en compte des besoins spécifiques des adolescents confrontés à des difficultés en lien avec une assuétude.

Les problématiques relatives à la santé mentale qui concernent ce groupe-cible rejoignent, pour certaines d’entre elles, celles qui concernent le « Groupe-cible des 16-23 ans » qui doit également faire l’objet d’une attention privilégiée, et le groupe-cible des « Jeunes judiciarisés ». De ce fait, un partenariat privilégié est instauré avec la coordination du réseau ASARBW (Aide et Soins en Assuétudes Réseau Brabant Wallon) et le CLPS (Centre local de promotion de la santé du Brabant wallon).

Les travaux du groupe portent, entre autres :

  • sur un programme de formation via la Cannabis Clinic (CHU Brugmann),
  • l’élaboration d’une journée de rencontre, d’information et d’échanges autour des concepts et outils utilisés par les professionnels avec leur patientèle, 
  • la mise en place d’un réseau de partenaires inscrits dans les différents niveaux de l’action (de la première à la dernière ligne), pour permettre, à terme, l’organisation d’un trajet de soins intégré accessible à tous les adolescents et jeunes adultes.
Ce groupe résulte d’une demande de la coordination fédérale pour la NPSSMEA, suite à une rencontre entre les coordinateurs des réseaux de santé mentale francophones et les cellules MENA de Fédasil et de l’AGAJ.  
L’objectif de ce groupe est d’élaborer un plan d’action à l’échelle de chaque province pour faciliter l’accès des « Mineurs Etrangers Non Accompagnés »(MENA) aux services de santé mentale.

Les premières rencontres avec plusieurs partenaires concernés du secteur Fédasil et de la santé mentale ont débouché sur la constitution d’un groupe porteur désireux de s’impliquer dans la poursuite de cet objectif et de dresser un premier état de la situation en Brabant wallon. 
Le plan d’action à élaborer devra articuler (et faire collaborer) les ressources existantes et disponibles (parfois hors-Bw) avec les besoins rencontrés sur le terrain pour améliorer l’accompagnement en santé mentale de jeunes MENA.

Ce groupe de travail est une initiative mise en place par un groupe porteur de professionnels du réseau (Etienne JOIRET, Jessy DE HERTOGH, Claire GILLET, Patrick KAISIN, Marine SABBE) afin de répondre aux demandes diverses et nombreuses des différents partenaires du réseau.

Les objectifs sont les suivants :

  • apprendre à se connaître (maillage au sein du réseau) et créer des liens ;
  • partager des expériences et des recommandations ;
  • se former ;
  • améliorer la connaissance des institutions et de leur fonctionnement ;
  • renforcer les pratiques de collaboration ;
  • réfléchir à des dispositifs organisationnels autour de situations complexes ;
  • modéliser une méthodologie de travail ;
  • présenter des situations complexes, intersectorielles ; 
  • encourager et développer la créativité au sein du réseau.

Ce groupe non-décisionnel est constitué d’acteurs motivés, volontaires et concernés par des échanges sur des bonnes pratiques. Ce groupe est ouvert à tous (seule condition : prise de connaissance de la charte et signature du ROI)

Les échanges se font à partir d’exposés de situations anonymisées de jeunes ayant des besoins relevant du secteur de l’Aide à la jeunesse, du handicap (AVIQ) et de la Santé Mentale. 

Contact : e.joiret@archipelbw.be

 

Mme Sarah BERTRAND est chargée de la communication intersectorielle du réseau.

Contact : s.bertrand@archipelbw.be